La Maison Francine Gag a organisé un festival niçois nommé "Salade niçoise" le 3, 4 et 5 juillet 2024. Nissart Per Tougiou a envoyé l'une de ses troupes pour y jouer "Lou Toump", cette comédie de Guihèn Borea, initialement écrite en 1934 pour Lou Teatre de Barba Martin, mais exploitée pour la première fois par notre association.

Nous avons vécu une sublime fête de la musique ce 21 juin. Tout était parfait : le décors de cette place Sainte Claire au coeur du vieux Nice, son acoustique, les pan-bagnat concoctés par nos soci Didier et Mumu, le nombre musiciens, fifraire, accordéonistes et percussionnistes décidés à honorer cette soirée, le nombre de chanteurs, bramaire ou non, venus pour partager un véritable moment de communion à la niçoise.

Nous sommes nombreux à en être sortis en s'exclamant : "L'an prochain, on remet ça !".

Alors, pour l'an prochain, rendez-vous place Sainte Claire avec vos cansouniers et instruments !

Formation ACTICOP Patines dispensé par Benoît Rousseau dans nos locaux du Trident.

Les combattants locaux qui ont défendus leurs terres pendant les invasions de 1792 à 1814 ont une rue de Nice à leur nom, située entre le Boulevard de l'armée des Alpes et la rue Chabrier à Riquier (sous le Super U Riquier). Un hommage toujours problématique puisque en ce temps l'ennemi était français. Ainsi, inauguration et plaque de la rue ont tardé à venir. Mais les associations Racines du pays niçois et Nissart Per Tougiou pensent qu'être en relation sereine avec son histoire et ses ancêtres vaut mieux que de s'obliger à se rendre aveugle, et vous convient à honorer comme il se doit les Barbets ce jeudi, lors d'une petite cérémonie avec révélation de la plaque, suivie par un apéritif au Trident.

Les Bramaire de la Countea sont allés représenter le Comté de Nice pour la fête "La Savoie dans tous ses états" à Sallanches. Comme l'an dernier l'accueil fût formidable, et nous avons été ravis de constater que l'événement prend de l'ampleur d'année en année. 

Pour nous, le mois de mai, c'est le retour de la culture niçoise en plein air. Sur le stand de Nissart Per Tougiou, en plus de la vente de nos produits, ça joue à la mourra, ça chante, ça joue du fifre, et ça parle niçois, si bien que certains d'entre nous deviennent accro à cette fête. Les Mai c'est terminé, mais point de nostalgie, car cette série d'événements ne fait qu'annoncer la période des festins qui vont faire battre notre pays niçois durant les trois mois d'été.

En raison de la pluie du mercredi 1er mai, la journée d'ouverture des Mai a été reportée au samedi 4 mai, ce qui nous a fait enchaîner deux jours de Mai d'affilé. Ce fut un réel plaisir de revoir un grand nombre de personnes, d'assister à l'Election de la Reine des Mai, et de participer au concours de Mourra organisé par Mourra das Quatre Cantouns.

Nous avons passé une excellente journée samedi dernier sous les oliviers, à déguster les spécialités de chacun et surtout la bonne socca cuite au four à bois. Fifres et mourra étaient de la partie entre deux discussions pour refaire le monde.

À l’initiative du Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement des Alpes-Maritimes (CAUE 06) un programme de recherche historique se met en place en 2024 et propose au grand public des séries de conférences et de tables-rondes auquel Jean-Loup FONTANA, Conservateur du patrimoine, a été convié à apporter sa contribution. Il présentera aux membres de Nissart Per Tougiou le samedi 20 Avril le "plan régulateur" qui a façonné l'extension de notre ville dans la première partie du XIXème siècle.

La conférence sera suivie d'un apéritif, puis d'un Jeu-Quizz proposé par Bertrand Roussel, directeur des musées d'archéologie de Nice. Le Quizz sera réalisé grâce à l'application Kaboot et il sera nécessaire d'être en possession d'un smartphone pour pouvoir y participer.

Christine Bovari nous a mené à travers les rues du Vieux Nice et du port pour nous faire découvrir la vie de Jòusé Garibaldi. Une trentaine de personnes étaient au rendez-vous, nous avons entonné un petit Nissa la Bella devant la plaque de Menica Rondelli, garibaldien et auteur de la chanson, et nous nous sommes retrouvés à midi au restaurant Barba Blea pour un bon repas bien nissart.